Mamaland – une entreprise de Mota-Engil qui a démarré son activité en 2023 – se consacre au développement, à la mise en œuvre et à la maintenance de systèmes durables, en adoptant des approches inclusives visant à générer de la prospérité pour la planète et les personnes.
Son but est le développement de systèmes intégrés, à travers des projets de reforestation, de boisement, d’agroforesterie (entre autres) qui permettent le développement économique, social et environnemental des communautés couvertes. Et il offre une opportunité d’investissement vert qui contribue non seulement à l’équilibre écologique de la planète grâce à la capture du carbone, mais soutient également la biodiversité, autonomise les communautés locales et fournit des rendements financiers grâce à des flux de revenus diversifiés.
En établissant sa présence dans les pays en développement, Mamaland vise non seulement à préserver l’environnement, mais aussi à favoriser une croissance économique durable et à créer des opportunités d’emploi décentes. A cet effet, elle favorise la formation des populations locales, contribuant ainsi à l’amélioration des conditions de vie et à la réduction de la pauvreté.
Le projet « Rare Maiombe » en Angola présenté à la COP28, couvre une superficie importante de 15 mille hectares à proximité de la forêt tropicale de Maiombe à Cabinda. L’investissement initial a été financé par un prêt bancaire, permettant l’acquisition d’équipements et de matériaux nécessaires au projet, ainsi que le début de la construction de serres et la culture de 20 hectares de cacao dans un régime de cabruca, un système agroforestier qui utilise des arbres indigènes de la région pour fournir de l’ombre aux cacaoyers.
Le projet « MoRe Malawi » couvre des réserves forestières dans plusieurs régions, totalisant environ 353 000 hectares, et un contrat a récemment été signé pour la concession de projets d’agroforesterie, qui vise à générer des crédits carbone.
Le projet « WiRe Mozambique » englobe des zones de réserves forestières totalisant 500 000 hectares, mettant en évidence la signature du protocole d’accord pour la réalisation d’études dans les zones de réserves forestières à travers la génération de crédits carbone.